Laure Ruhlmann • Psychlogue-sophrologue

« J’ai à cœur de proposer un travail d’accompagnement où l’on prend le temps d’apprendre à ressentir son corps et à identifier les « phénomènes » (sensations, émotions, etc.) qui le traversent.

Puis de trouver une façon de les accueillir soit en leur laissant de la place (acceptation) soit en les laissant partir (évacuation, lâcher-prise). Le tout au rythme de la personne. »

Diplômée en psychologie clinique

Diplômée d’un master en psychologie clinique de l’UCLouvain depuis 2014, j’ai intégré la même année l’équipe d’un centre de postcure résidentielle pour adultes souffrant d’assuétude (alcool, drogues) à Bruxelles.

Passant beaucoup de temps dans les espaces communautaires, dans le quotidien des résidents, je prends conscience de l’importance d’aborder le vécu des patients dans leur globalité.
Pour moi, il devient alors important de m’intéresser tant à la santé mentale, aux maux de l’esprit, qu’aux maux du corps et à leurs relations et influences.

C’est assez naturellement que je me tourne vers la sophrologie, découverte pendant mes études.
Je suis rapidement conquise par l’aspect accessible, concret, autonomisant et global de la sophrologie.

Certification en sophrologie

Depuis 2017, je suis certifiée de l’École Belge de Sophrologie Fondamentale et de Relaxation à Bruxelles.

La même année, j’intègre l’équipe de la première maison bruxelloise d’accompagnement pour personnes touchées par le cancer,
Re-Source asbl.

J’y anime des cycles de sophrologie soit pour faire découvrir la méthode soit pour en approfondir la pratique autour de thèmes précis tel que la gestion du stress ou du sommeil.

En parallèle, j’ai travaillé dans un service d’aide aux détenus toxicomanes durant 4 ans. Cette expérience m’a permis de réaliser la difficulté des patients à prendre conscience de ce qui se passe dans leur corps. Difficulté également à identifier les sensations voire nommer les émotions reliées aux sensations.

J’ai réalisé l’importance de proposer un travail d’accompagnement où l’on prend le temps d’apprendre à ressentir son corps et à identifier les « phénomènes » (sensations, émotions, etc.) qui le traversent. Puis de trouver une façon de les accueillir soit en leur laissant de la place (acceptation) soit en les laissant partir (évacuation, lâcher-prise). Le tout au rythme de la personne.